Du Chili à l’Alsace, entre le formalisme et la liberté musicale
Matías Rosales s’est formé au Chili auprès de Christian Morales. Après l’obtention d’une licence en composition musicale où il a appris le contrepoint la Musique Assistée par Ordinateur (MAO), et à la musique mathématique. Après avoir passé un concours, le jeune doctorant a ensuite choisi d’approfondir ses connaissances en master de composition contemporaine à Lyon, aux côtés de Philippe Hurel. Lors de sa formation, il a porté un intérêt particulier pour les nouvelles technologies. C’est à cette période que son “côté musical [s’est] réveillé”, laissant place à la liberté compositionnelle dramaturgique plus qu’à la prévision mathématique de la musique. Le compositeur a ensuite rencontré Daniel d’Adamo au CNSM de Lyon qu’il a pu retrouver à Strasbourg en tant que professeur de composition au Conservatoire de la ville. “Daniel d’Adamo m’a appris à être plus minutieux et soigné, être clair et précis dans les idées”, explique le jeune compositeur.
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